Où VONT les JEUX DE COURSES ? - YouTube
Lorsque nos parents nous ont offert une PlayStation (première du nom), le premier jeu fut Porsche Challenge (parce que le père fan de Porsche). Une seule voiture, la Porsche Boxster. On l'a poncé jusqu'à la moelle. Mais au-delà des Gran Turismo 2 et autres V-Rally, ce qui nous est resté est la claque Driver. Imaginez : GTA n'existe que comme vu de dessus, et vous avez sur PS1 un jeu en monde ouvert sur plusieurs villes où vous incarnez un flic sous couverture qui devra bosser avec le mac du coin, en esquivant les voitures de police. Bref, un GTA avant que ce soit GTA…
J'ai par la suite arrêté les jeux de courses sur PS2 et consoles suivantes. Ça ne fait qu'un an que j'ai un peu repris sur PC avec Project Cars et Assetto Corsa, mais si je retrouve le côté Gran Turismo 2 (où, on le rappelle, il fallait passer son permis dans le jeu avant de pouvoir faire sa première course, c'est dire), il me manque cruellement l'histoire d'un Driver.
Mais je compare ça aux jeux d'avions (moins que les space sims), où l'histoire d'un Secret Weapons Over Normandy reste inégalée, même dans le meilleur Ace Combat. Imaginez : vous jouez un pilote de la RAF durant la WW2, avec des missions débutant par la Bataille d'Angleterre et se terminant par aider le physicien Niels Bohr à s'échapper ou détruire des cargaisons d'eau lourde pour éviter que les allemands n'acquièrent des armes potentiellement atomiques, tout cela servi par une bande originale signée Michael Giacchino (Star Trek, Rogue One, Medal of Honor, Call of Duty, Jurassic World…). Les jeux actuels sont certes beaux, avec une physique appropriée, mais manquent d'une âme et d'une histoire…
Vous pouvez utiliser votre blog supportant les webmentions, votre compte Mastodon (Fediverse) ou Bluesky, voire Twitter pour répondre à cette note. Par engagement, seules les webmentions et les réponses du Fediverse sont affichées.