Dans les lycées pro de Blois, des jeunes en quête de sens et de dignité | Mediapart
« Moi, j’habite dans un trou. Le lundi, il faut me conduire jusqu’à Châteaudun. À 5h40, un bus m’emmène jusqu’à Blois, ça met 1h30. Après, jusqu’à vendredi, il n’y a plus rien. La mobilité douce, le covoiturage, c’est très bien mais pas à la campagne. »
Oh, douce réalité…
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