Note
Syndrome de la page blanche vaincu par un plan détaillé presque ligne par ligne de l'introduction de partie. L'un des problèmes de travailler sur Nietzsche, c'est que l'on doit tout expliquer. L'étude des valeurs morales ramène à une psychologie des pulsions.
Donc si l'on veut expliquer en quoi la typologie morale établie par la généalogie est en quelque sorte une psychologie, que l'esclave ne désigne pas nécessairement une position sociale, il faut expliquer les instincts que cachent les idéaux moraux. Mais également en quoi ces idéaux sont des illusions, en quoi leur universalité apparente est opposée à la réalité et tient des arrières-mondes, bref on peut rabattre sur l'ontologie nietzschéenne. Et ainsi de suite jusqu'à avoir présenté une bonne partie de Nietzsche. Sachant que chaque étape est en proie à ses propres subtilités et contradictions apparentes, ses propres conflictualités qu'il s'agit d'exposer et de résoudre.
Donc perso, parce que j'ai pas beaucoup de place, j'ai coupé dès que j'en ai eu l'occasion pour pas m'éparpiller. Ça va être funky quand je vais devoir, en fin de partie, toucher à la Volonté de puissance en la résumant à quelques lignes…
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