Sherlock Is Garbage, And Here's Why - YouTube

Je vais pas me faire que des potes avec ça, et bien que j'adore Sherlock… je suis d'accord avec plusieurs points :

Oui, ça dure deux heures, c'est en anglais, mais ça les vaut. Ça parle des écrits originaux de Doyle, notamment.

Parce qu'elle a du mal avec l'anglais, et que je l'aime, je vais tenter de synthétiser les différents points en un billet. Détestez-moi.

Introduction

Il y a eu beaucoup d'adaptations (oui, on sait). Même une série au XXIIe siècle où Watson est un robot.

Sans compter les influences : Dr House par ex. Mais il y en a 2 grosses récemment : Sherlock et Elementary.

Elementary est un procédural, ce qui rejoint les écrits de Doyle : une série d'histoires indépendantes. On peut lire les Sherlock Holmes dans l'ordre que l'on veut, on a pas l'impression de perdre quoi que ce soit à l'histoire.

Mais avec Sherlock, les gens n'ont eu l'air de remarquer que c'était mauvais qu'à la fin, en saison 4. On va s'attacher à comprendre pk.

Partie 1 : Moffat

Moffat-bashing, mais soulève quelques bons points : Sur DW, Moffat est bon pour les épisodes courts. Mais sur la longueur, Moffat lance plein d'idées géniales sans jamais arriver à les recoller À PART SUR TROIS SAISONS. L'arc Matt Smith est symptomatique de ça : il faut attendre sa régen pour avoir une explication de TOUT, depuis la crack in the wall.

Autre chose : avant, DW c'est juste des aventures. Le Doctor est pas si important que ça. Dès le premier épisode de l'ère Moffat, le Doctor est TOUT. C'est l'être le plus important de l'univers. On ne cesse de rappeler son importance. Bah c'est pareil pour Sherlock : Sherlock est TOUT. Le monde tourne autour de lui. Sans lui, rien ne fonctionne.

(après Moffat a fait de bons trucs, hein, par exemple il est le premier à avoir avancé l'idée d'une Doctor femme dans un épisode parodie)

Partie 2 : Les arcs narratifs

Comme dit, rien ne connecte les histoires de Sherlock Holmes entre elles, chez Doyle. On peut vraiment les lire dans le désordre, il n'y a pas de fil rouge à ne pas louper. Chaque histoire est satisfaisante en elle-même. Avec le Sherlock de Moffat, c'est pas le cas, du tout.

Dans ce Sherlock, dès le premier épisode on s'écarte de l'histoire pour montrer que Sherlock a un frère, qui est là, et qui fait des trucs. La présence de Mycroft dans le premier épisode, c'est sympa, mais inutile à l'intrigue. On peut la couper totalement et rien ne change. Et la fin de l'épisode, c'est même pas résoudre les meurtres. C'est montrer qu'en fait c'était Moriarty qui avait tout manigancé (on reviendra plus tard sur ça, mais Moriarty manigance tout depuis le début, et c'est chiant).

Deuxième épisode : en fait la méchante était aux ordres de Moriarty, qui la tue. C'est INUTILE. Tous les méchants ne sont pas à ses ordres. C'est le même problème que dans DW. Du temps de Davies, à la fin de l'épisode on avait avancé sur un sujet. Avec Moffat, on espère que le prochain épisode nous apportera des réponses. Et c'est jamais le cas. (ex. Dalek→Robin des Bois)

Partie 3 : Sherlock le Surhomme

Avant, Sherlock Holmes c'était utiliser les indices avec un raisonnement déductif pour résoudre le mystère. Ici, Sherlock est TROP important, TROP spécial, ça ruine la tension. Au fur et à mesure des saisons, on cesse de s'occuper du mystère et de comment Sherlock le résout, pour se concentrer sur Sherlock, à quel point il est bizarre et super-intelligent.

L'exemple de S03E02 est significatif : il s'ouvre sur une blague de 3 minutes pour dire qu'il sait pas trouver de blagues, il est bizarre.

Dans d'autres adaptations, et dans les bouquins, Sherlock était pas si important. Le mystère, et d'autres persos l'étaient tout autant (exemple perso : Le Signe des Quatre où l'on a toute une histoire dans l'histoire des motifs du crimier, c'était génial).

S'ensuit une comparaison entre la scène de Une étude en rouge et celle de Une étude en rose avec le mot RACHE. Comparaison intéressante, en ce qu'elle montre que dans le livre Sherlock donne les infos aux détectives, dont la taille du tueur. Qu'il a déduit logiquement des éléments présentés au lecteurice. Dans la version TV, Sherlock se barre, dit rien d'autre que « ROSE ». Il fait même une déduction inutile que la femme est une adultère en série basée sur un anneau. Inutile car ne servant qu'un but : montrer que Sherlock est intelligent. C'est tout, rien d'autre, cet élément ne sert à rien dans l'intrigue.

Donc on montre que Sherlock a compris des trucs, que nous non (ou pas si vous êtes comme moi, mais on va dire que je me vante), et aucune explication n'est donnée. C'est confus au possible, juste pour montrer qu'il est intelligent, sans montrer COMMENT il l'est.

Par comparaison, le 1er épisode de Elementary montre un Sherlock qui trouve une chambre forte, en expliquant qu'il y a une pente de 1 à 5° dans une chambre. Il fait même rouler une bille pour la rendre concrète. Il explique COMMENT, sa méthode.

  • suit plusieurs assomptions fausses de Sherlock (assez bien démontrées)
  • quelques exemples de moments où lea spectateurice ne POUVAIT pas déduire parce que Sherlock a fait le boulot de son côté (cas du chat)
  • le délire du sucre dans le Chien de Baskerville -_-

Partie 4 : Moriarty

Déjà parlé un peu avant. Juste rappel : Moriarty n'était que dans 2 (DEUX) des histoires originales.

Oui, on a compris, Moriarty est un peu queer, et il aime Sherlock et veut faire plein de trucs avec. Mais… POURQUOI ? Qu'est-ce que ça ajoute à l'intrigue ?

Moffat pensait que Moriarty était un peu trop ennuyeux et classique, alors ils en ont fait un psychopathe délirant (itw de Moffat). (« absolute psycho » est le terme utilisé par Moffat)

  1. absolute psycho alors qu'il est clairement gay, merci, on apprécie.
  2. Moriarty, ennuyeux ? Le méchant le plus mémorable de l'histoire de la littérature ? Srly ?

Vous aviez vraiment besoin de « fixer » Moriarty ? (perso ça me dérange pas tant que ça, mais c'est vrai que ça peut taper sur les nerfs)

Donc, comme c'est un absolute psycho, on peut lui faire faire n'importe quoi, y compris des trucs contradictoires. Comme :

  • menacer de tirer sur Sherlock et s'en aller ;
  • protéger son identité pour la révéler ;
  • jouer avec S jusqu'à se tuer sans raison.

Aucune justification ne sera donnée dans la série, normal, il est cinglé. Le méchant est tout puissant, ne tue pas le seul perso qui peut l'arrêter, et Sherlock n'a jamais l'avantage parce qu'il est trop intelligent.

Partie 5 : Esthétique

Différentes considérations sur les choix esthétiques de la série. Il y a de très bons trucs, comme les textes et les transitions. Mais certains effets sonores (Woosh) deviennent vite répétitifs et inutiles.

Des fois c'est cool, on a un aperçu de l'esprit de Sherlock (les insert macro). D'autres, c'est stupide : Liberty, In. HOUND.

Le meilleur exemple est la scène des photographies lors du mariage. Elle fut difficile à réaliser, c'est une technique cool. Mais elle est inutile. La technique n'apporte rien à l'intrigue. C'est juste pour faire cool sur un moment sans grande importance.

C'est de l'argent dépensé juste pour montrer que la série est super-cool, pas pour servir l'histoire.

Partie 6 : Watson

Watson est nul et n'a aucun intérêt dans cette adaptation. Comptons ensemble ce qu'il fait tout au long de la série.

  1. Il tire sur le méchant dans le 1er épisode. C'est cool, il a fait quelque chose.
  2. Il allume un feu chez Adler.
  3. Il se fait kidnap. 2 fois.
  4. Il est là pour le combat avec le Golem.
  5. Il se fait kidnap. Again.
  6. Il se fait tenir en joue d'une arme à feu une fois, aussi.
  7. La chose la plus importante qu'il fasse, c'est… de regarder Sherlock mourir.
  8. Il soigne quelques bobos.

Le reste du temps, il est juste là pour se faire emmerder par Sherlock. Vraiment, et de toutes les manières possibles.

Partie 7 : Mary

Son importance est moindre dans les bouquins, mais Doyle s'en sert pour faire des commentaires sur la place des femmes dans la société très fermée de l'époque.

On la voit pas beaucoup au départ, puis on apprend soudain qu'elle est une super ninja assassin (perso c'était pas une surprise mais bon). Et alors… elle meurt. Elle aurait pu être un perso intéressant, mais à la place ses actes les plus intéressants se déroulent… hors écran.

Les scénaristes ont dû comprendre que sa mort était une erreur, puisqu'elle revient en fantôme puis sur DVD.

C'était une femme forte, intelligente et indépendante, et il fallait la tuer pour ajouter à l'histoire de Watson…

Partie 8 : Irène Adler

Présente dans 1 seule histoire : Un scandale en Bohême. Pourtant utilisées à toutes les sauces depuis. Dans l'histoire originale, c'est Sherlock qui semble être le méchant, puisqu'un prince veut les photos juste pour clean son passé. Sherlock déguisé arrive à trouver la cachette des photos, mais quand il revient avec le prince, il ne trouve qu'une lettre. Irène Adler s'est marié et est partie loooin pour être tranquille. C'est clairement une femme qui ne demande rien, n'emmerde personne. Mais qui a réussi à être plus maline que Sherlock. Et Sherlock la respecte pour ça. À l'époque, elle devient une sorte d'icône féministe. Puisque Doyle essaie de montrer ainsi que les femmes peuvent très bien être plus intelligentes que les hommes, et qu'il faudrait les respecter.

La nouvelle Adler est juste… D'une, c'est clairement la méchante (on passe sur le délire Dominatrix) qui fait du chantage. Mais en plus elle reçoit l'aide de Moriarty pour surpasser les deux Holmes. Et échoue. Parce qu'elle est amoureuse de Sherlock. Et elle a besoin d'être sauvée par Sherlock en fin d'épisode. Vous voyez le souci ici ? Sherlock reste le gentil héros sans reproche (alors qu'il est bien plus dans une zone grise dans les bouquins, et même dans Elementary il y a quelques épisodes qui explorent ça). Et en plus Adler n'est plus qu'une énième damsel in distress, qui agit sous les ordres d'un homme. Elle n'a aucun mérite en elle-même.

Partie KILL ME : The Scene

Alors là il aime pas la scène du boomerang. Parce que c'est un boomerang. Perso, j'ai résolu l'affaire. Car oui, j'avais pensé au boomerang. Parce qu'il y a une histoire de Doyle qui en parle. Donc ça lui reste en-travers de la gorge, mais moi ça me dérange pas, c'est un clin d'œil.

Mais il est vrai que c'est symptomatique de la série : pour montrer que Sherlock est intelligent, on va cacher/pas donner assez d'infos. Du coup on trouve pas la solution, jusqu'à ce que Sherlock arrive avec le morceau qu'il manquait depuis le début. Et hop, c'est fait.

(reste que pour quelqu'un qui a lu les bouquins, la plupart des enquêtes de Sherlock sont trop simples, à mon goût. La plupart, pas TOUTES, puisque justement on nous cache des infos)

Dans la série, on ne laisse pas assez le soin au spectateurice d'OBSERVER. C'est pourtant la base. Tout ce qu'on voit, c'est S observer.

(exemple perso : Elementary, encore une fois. Un épisode on nous montre un appart avec un lave-linge par terre et un gros sac de riz. Le tué est atteint de troubles psy assez importants, et son portable est introuvable, pourtant une clé essentielle du puzzle. La question est donc : où est le portable ? Pouvez-vous connecter les deux seuls éléments que l'on vous a montré pour trouver le portable ? Réponse : dans le sac de riz. Le type mangeait pas de riz, c'est dit. Il a trempé son portable au lave-linge, s'est énervé dessus et a cherché un moyen d'en enlever toute l'eau avant de le réutiliser, vu ce qu'il y avait dessus. C'était pas compliqué, ça prend un épisode, les gens qui ont compris avant sont contents, les autres voient que c'était « si simple ». Bah Sherlock c'est pas du tout comme ça).

Partie 10 : La saison 4

Ai-je besoin de développer ? Lorsque même les fans s'en remettent à des théories fumeuses selon lesquelles il existerait un quatrième épisode pas encore diffusé qui montre que tout ça n'était qu'un rêve dans le palais mental de Sherlock… Bah voilà.

Jusque-là, on avait encore un peu l'impression d'une progression, qu'il allait se passer quelque chose. La saison 4 a détruit l'illusion.

Résumé rapide : après l'épisode spécial où l'on apprend que Moriarty est bien mort (donc que le cliffhanger d'avant servait à rien), où Sherlock nous dit qu'il sait ce que Moriarty va faire, on voit en saison 4 qu'en fait Sherlock va attendre parce qu'il sait pas.

Sherlock remarque la piste des Thatchers, pensant que c'est lié à Moriarty… mais en fait nan pas du tout, hop coincidence c'est lié à Mary. Mary se cache, Sherlock la retrouve… et est suivi par le type qui veut la buter. IL POUVAIT PAS PRÉVOIR ÇA ?! Et au final RIEN DANS L'ÉPISODE N'EST LIÉ À MORIARTY. C'est cette série de twists et de détwists qui rend le tout bordélique. C'est également la 2e fois que Sherlock tombe par accident sur une affaire touchant Mary en faisant tout autre chose -_-

Le méchant de l'épisode 2, on a aucune preuve qu'il est un criminel. Mais Sherlock a parlé a sa fille. Qui s'avère être une hallu. Qui s'avère être SA SŒUR. Donc en fait le témoignage était faux. Donc il est innocent ? Non, il se confesse. (perso : oui, j'ai conscience des similarités avec l'histoire originale The Dying Detective, mais dedans S en était convaincu sur plus qu'un simple témoignage qui s'avère être faux.) Donc Sherlock a ENCORE RAISON, alors qu'il avait vraiment aucune preuve, rien de déductif, rien. Mais c'est le héros, il peut pas avoir tort (alors que spoiler : ça lui arrive plein de fois dans les livres).

Il y a aussi le problème Eurus : comment elle était au courant du méchant ? Pourquoi elle drague Watson ? Pourquoi elle voit Sherlock ? Pourquoi elle prend la place de la psy de Watson ? Pourquoi elle dit qu'elle va le tuer mais l'endort simplement ? La réponse à ces questions c'est juste la même que pour Moriarty : parce que SUPERINTELLIGENTE MAGIC et CRAZY AS FUCK.

C'est simple, ça évite de justifier quoi que ce soit, exactement comme pour Moriarty (on reviendra sur « c'est à nous de comprendre »).

Et le dernier épisode… Prenons l'ouverture en détail : une fille se réveille dans un avion, les gens sont endormis, auto-pilote. Elle reçoit un coup de fil, c'est Moriarty (donc mort, on rappelle). CUT, générique. À la fin de l'épisode, on comprend pas plus. Le coup de fil, c'était un message enregistré (Moriarty est mort). Mais en fait non, parce que ça se passe dans sa tête.

MAIS WHAT ?! Certains fans ont justifié ça a posteriori en disant que c'était trop absurde, c'était pour montrer que c'était faux.

Sauf que, ALLO ?! La série nous a habitué à ça.

  1. L'avion qui vole avec des morts ?
  2. Les otages dans un mind game Moriarty-Sherlock ?

Ça résume toute la série en fait : des setups vachement intéressants, une montée en puissance, puis ça se défait lui-même.

« Oh là là là Sherlock a halluciné un témoignage et si ça se trouve il est dans une merde noir… ah non il a raison en fait, np »

« Oh là là Sherlock poursuit le reste de l'organisation de Moriarty… ah bah non, c'est Mary. »

« Oh là là Sherlock a reçu un DVD Miss me? ce doit être Moriarty… nan, c'est Mary. Again. »

Etc. Etc. La liste est trop longue.

Bref. L'épisode S04e03 n'explique à aucun moment comment Eurus a pu prévoir à l'avance les évènements sur plusieurs années. À ce point-là, l'intelligence est juste devenue le TA GUEULE C'EST MAGIQUE du JdR. Eurus y arrive TGCM.

Et on apprend que Sherlock a oublié son ami d'enfance. Deux fois, puisqu'il l'a transformé en chien (suit une interview de Moffat où il dit qu'il faut surtout pas faire d'origin story à Sherlock -_-).

Et à la fin de l'épisode Sherlock fait un câlin à sa sœur parce que c'est plus simple que d'avoir à expliquer ce qu'elle veut et pourquoi. S'il y a une seule chose pour laquelle la série (et Moffat) était bonne, c'était de nous faire penser que des réponses allaient venir. Il se trouve qu'il n'y en avait pas. C'est ça qu'ont réalisés les fans avec la saison 4.

La grande force de la série était de faire penser qu'il y avait des trucs plus profonds que ce qui était montré à l'écran. Après 4 saisons, les gens ont réalisés qu'en fait il n'y en avait pas, que c'était simplement suggéré jusque-là. Et que ça ne changerait pas.

La série reposait sur des promesses de futurs bons épisodes, sans les servir. Ça s'est vu. Et elle voulait pas que vous y réfléchissiez.

Partie 11 : Dénigrer les fans

Si vous êtes fan de Sherlock, Moffat et ses scénaristes vous détestent.

Le plus bel exemple de ça est l'épisode S03E01 qui passe sont temps à cracher à la gueule des fans, et de leurs théories… QUI SE BASAIENT SUR LES FAITS ÉTABLIS ET MONTRÉS À L'ÉCRAN. On en arrive au point où Watson dit qu'il ne veut pas savoir comment Sherlock a fait, juste pourquoi il l'a fait.

La personne qui énonce la théorie de S & M amoureux se fait moquer, alors que justement la série n'a eu de cesse de titiller sur la relation « gay » de Holmes et Watson, et sur l'attitude ouvertement queer de Moriarty ! Cet épisode traite les gens qui ont lu un sous-texte clair et objectivement présent des gens STUPIDES, au lieu d'écrire un meilleur texte.

Les fans n'ont pas à s'occuper de savoir COMMENT une chose s'est passée dans une série de crimes/mystère, juste POURQUOI elle s'est passée. SÉRIE BASÉE SUR UNE SÉRIE DE BOUQUINS MONTRANT """"""COMMENT""""""" LES CHOSES SE PASSENT, BORDEL.

Le Chien de Baskerville… Il fallait que ce soit plus intelligent que le bouquin, n'est-ce pas ? Un chef d'œuvre de la littérature anglaise… Une histoire d'héritage ou de chien peint en fluo c'était pas assez. Il fallait un laboratoire militaire high tech quasi-inutile. Il fallait une drogue expérimentale. Il fallait que le Chien vienne de la vision du mot HOUND sur un t-shirt. Il fallait que le meurtrier décide de torturer psychologiquement le seul témoin au lieu de le tuer alors qu'il a eu TOUT LE TEMPS DU MONDE.

Conclusion

Rien d'intéressant à ajouter ici.

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