Note
Mais c'est quoi ce bordel avec les particules patronymiques, sérieux ? Un coup tu mets une majuscule, un coup non. Et ça se contredit d'une source à l'autre 😠
Mais c'est quoi ce bordel avec les particules patronymiques, sérieux ? Un coup tu mets une majuscule, un coup non. Et ça se contredit d'une source à l'autre 😠
Je rappelle à toutes fins utiles que ces droits « typiquement français » proviennent du CNR.
À une époque où le patronat avait en majorité collaboré avec l'Allemagne nazie, donc était en position de faiblesse face aux travailleurs. Que ce n'est que juste retour des principes des Déclarations des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 et 1793. Déclarations établies dans le contrat social national par la Constitution.
Donc si tu n'aimes pas « l'exemple typiquement français », bah fait comme le dit Sarkozy : la France, tu l'aimes ou tu la quittes.
Dites, je me posais une question là…
Les 5€ de réduction des APL sont pas compensés par la suppression de la taxe d'habitation ?
Comme d'habitude, un département fonctionne mieux que l'autre ; je suis accepté en L2 de sociologie \o/
Plus qu'à attendre la décision de la philosophie. Attendre mercredi pour voir des pistes de financement (parce que 2 ans je peux pas).
Je crois que Pauline m'a fait comprendre un truc aujourd'hui. Un truc qu'on m'a répété mais qui n'entrait pas jusque-là.
Un truc que @Nervia_Nocline en a eu marre de me dire, mais que je ne pouvais pas entendre. Et voulais pas, aussi. C'est pas un problème de mots, c'est un problème d'état d'esprit. Je le voyais du coin de l'œil, mais maintenant ça m'a tourné face au problème véritable.
Et maintenant je suis en face de la falaise. Elle est vertigineuse. Au sens premier : elle me donne le vertige. Je n'en vois pas le sommet. Je la voyais pas avant, ou plutôt mon système de survie m'empêchait de la voir. Parce qu'elle est terrifiante, vraiment, existentiellement.
Je savais qu'elle était là, mais je voyais même pas comment passer la porte. Je savais qu'elle m'effrayerait de toute manière. Mais là je suis face à elle. J'ai peur. Je veux la fuir. Mon corps m'ordonne de refermer la porte et de laisser mon esprit s'envoler.
Je sais ce qu'il me reste à faire : je dois grimper. Je dois avoir le courage d'affronter cette falaise. Et recommencer si je tombe. Là j'ai juste peur qu'aujourd'hui ce soit la fatigue qui me fasse réaliser tout cela. Que demain j'aurais oublié. Car si demain, ou un autre jour, je me réveille avec cette porte fermée, je peux oublier comment l'ouvrir de nouveau.
Mais une fois sur la falaise, je ne l'oublierai pas. Je vais pas vous demander de m'offrir une main pour m'agripper, pour me lancer dessus. Mais s'il vous plait, ce soir je vous en conjure, si vous voyez que je ne grimpe plus, rappelez-moi la falaise.
OK.
J'ai même pas monté officiellement l'entreprise que l'Urssaf CFE me prend déjà la tête. C'est quand même dingue.
#startUpNation Soyez des entrepreneurs qu'ils disaient…
Je pose ça là. Ça sauve des vies quand on habite une zone couverte par du réseau et qu'on a pas d'anxiété au téléphone…
Besoin d'un câlin. Besoin qu'on me dise qu'on m'aime.
Allez, dieux hypothétiques, avouez que me refuser la prolongation du livre avait pour seul but de me rendre présent pour un rdv avec Pauline
Fatigué, envie de dormir, peux pas, glandage devant les deux pires saisons de Weeds, ennui, pensées fugaces. Tout le monde dort. À part cette fille que j'ai déjà trop embêtée aujourd'hui. Retour sur Weeds. Rince and repeat.