J'en avais un poil marre d'écouter les mêmes playlists locales et la même web radio (Radio Skvortsov, Bringing you the best classic rock and galactic news 24/7. From a lone Anaconda somewhere in deep space, this is your voice in the dark.) donc j'ai installé Shortwave, un petit logiciel de web radio open source et… wow.

Non seulement il y a une base de données assez fournie des flux (de France Inter à l'obscure radio ukrainienne qui ne passe que du blues), avec possibilité d'ajouter les radios qui n'y sont pas, possibilité de caster vers un Google Cast (coucou les abonnés Free qui peuvent directement balancer la musique sur les enceintes de la télé), mais aussi… Shortwave garde en fichiers temporaires les segments envoyés, ce qui permet de juste cliquer sur un bouton pour enregistrer le mp3 dans le dossier Musique, du moment que tu as écouté le morceau en entier (ou l'émission de radio ou que sais-je). Y a littéralement rien à faire, tu as aimé le morceau qui est passé, tu cliques et c'est enregistré.

Le fait que une IA exécute un certain programme informatique que aucun être humain n'a jamais programmé. Il s'est plus ou moins programmé tout seul, par apprentissage.

Ça me fait penser à l'argument de l'horloger, à propos de l'existence necessaire de Dieu.

Sachant que Cicéron a écrit le De natura deorum comme une critique de l'épicurisme où justement la création du monde revient au hasard pur du clinamen, ce n'est que la deuxième manière de rejeter l'argument de Cicéron.

On peut aussi aller voir le sublime chez Kant (pourtant pas athée) : du beau qui semble avoir été créé mais qui ne l'a pas été (Critique de la faculté de juger). Ce pourquoi les beaux arts ne peuvent produire du sublime, d'après Kant.

La grande différence entre l'IA et l'argument de l'horloger, c'est qu'il n'y a pas de hasard avec l'IA, dans le sens où ce qu'elle produit convient bien (par un système de « récompenses ») à un résultat attendu par des créateurs, là où l'argument de l'horloger s'attaque principalement au hasard.

Excellent petit éditeur de texte multi-plateforme (Linux, Mac, Windows) et même portable, en ligne de commande. A aussi une barre de raccourcis comme nano, mais ici les raccourcis sont communs (Ctrl+C pour copier, etc.), une bonne coloration syntaxique, les multi-curseurs à la SublimeText/VSCode, les onglets en plus des buffers splittés, l'ouverture de buffers par des pipes (ip a | micro) et j'en passe…

Ça va directement remplacer mon nano, ça.

Reuters spoke with five private eyes, who all said their fraudulent sick leave business was booming - so much so that some agencies have ditched traditional gigs like extra-marital affairs to focus solely on employees suspected of skipping work.

"Je veux supprimer le RSA. Oui, je condamne cette France qui a assommé des générations entières à coups de RSA. Cela a permis à la droite de séparer les gens entre des travailleurs et des cassos. Des gens se disent : “Pourquoi je me crève la paillasse à bosser pendant que mon voisin qui touche le RSA vit aussi bien que moi ?”."

Fabien Roussel, secrétaire général du Parti Communiste.

On dirait du Sarkozy. (avec 500 balles on ne vit pas aussi bien qu'un salarié)

Se rappeler que l'ISF a été instauré en 1989 par Rocard pour financer le RMI, et donc que le RMI servait également à insérer socialement les riches en leur faisant payer des impôts comme tout le monde, laissant entendre qu'ils n'étaient pas que des branleurs profitant du travail des autres, ça devrait être aussi ça le travail de la gauche…

Ouvrir un terminal. Taper la lettre y puis faire Tab pour vérifier la commande à taper. Remarquer que dans les choix, il y a yolo (à utiliser dans un dépôt git), et surtout… yes. Ne pas se souvenir d'un programme portant ce nom. Taper man yes et lire :

yes - output a string repeatedly until killed

Comprendre tout à coup pourquoi la commande s'appelait yes. Bref. Se sentir sale.