Los Angeles Review of Books (@LAReviewofBooks): "“Heidegger and Derrida were careless readers quite generally of earlier figures in philosophy,” writes Brian Leiter about…" / Twitter

Apparemment il faut être docteur en philo, prof et spécialiste reconnu de Nietzsche pour être légitime à dire ce qu'il faut sans se faire taper sur les doigts... N'empêche cette interview (j'ai pas lu le bouquin, sorti en avril) me requinque puisqu'elle confirme mon interprétation de la psychologie nietzschéenne, mais également de la lecture de l'illusion du sujet libre que je présente dans mon mémoire.

Morag's wife (@Sine_Iraa): "Y'a un concept que beaucoup de personnes ont du mal à choper : le fait de passer du temps avec soi. Je sais pas pour vous mais moi la solitude j'en ai besoin. Que…" / Twitter

« Nous sommes les amis nés, jurés, jaloux de la solitude, de notre solitude propre, suprêmement profonde, qui nous est un suprême minuit, un suprême midi : — voilà l’espèce d’hommes que nous sommes, nous, esprits libres ! » — Nietzsche, Par-delà bien et mal, § 44 https://twitter.com/Sine_Iraa/status/1131593569888817152

Note

On est à 12h du rendu final. Toujours rien. Deux personnes ont eu 324h pour lire et apporter un commentaire succinct à mon article. Je serais presque impressionné par autant de je-m'en-foutisme de la part de mes camarades, s'ils ne me mettaient pas autant dans la merde.


Update : donc j'ai envoyé un mail au prof le lundi midi. Sa réponse fut : « Vous devriez avoir les relectures demain au plus tard. Bien cordialement. » (WTF ce non-respect du planning) Nous sommes mercredi matin. Non seulement les relectures ne sont pas arrivées, mais les soumissions pour le prochain article de la série de 3 ne sont pas non plus distribuées aux relecteurs. Autrement dit on nage dans la confusion la plus complète où on ne sait plus quelle est la deadline, s'il faut la respecter, si l'on est bien relu, etc. C'est le foutoir intégral à tous les niveaux.