Expérimentation « Oui Pub » : analyse des premiers résultats – Résistance à l'Agression Publicitaire

De leur côté, les syndicats déplorent des pertes d’emplois en cas de généralisation du « Oui pub », défendant ainsi des emplois précaires pratiqués notamment par des étudiant·es, voire des retraité·es, ce qui pour ces dernier·es est un comble pour des syndicalistes : plutôt que défendre le droit à une retraite digne, on défend des emplois pour des personnes qui devraient être au repos.

Les syndicalistes défendent aussi l’idée que sans ces IPSA, la filière du papier et du carton recyclé serait menacée. En clair, pour recycler (opération qui a un certain impact), la filière a besoin de créer des déchets qui ne sont pas lu la plupart du temps, déchets qu’il faut acheminer des papetiers aux imprimeurs, des imprimeurs aux centres de distribution, des centres de distribution aux boîtes aux lettres, puis des poubelles aux centre de tri, et enfin du centre de tri aux usines de recyclage. Tout ceci par camions, camionnettes et véhicules utilitaires. Rappelons ici que le meilleur déchet est celui qu’on ne produit pas, surtout si ce déchet ne sert pas à son utilité première, mais seulement à faire du papier ou du carton recyclé.

Je.

Saïd : « et si on imprimait moins de livres, à la place ? » - LIRE.IM

@saidsaidwords Impression à la demande ? Le problème, c'est que pour être pertinent écologiquement, il faut un imprimeur à la fois respectueux de l'écologie et local. Constituer un maillage sur un territoire donné relève du challenge pour une petite structure alternative ou indépendante, sauf peut-être en constituant une association 🤔 …

Après, il faut savoir que le chiffre que l'on nous ressort partout (un livre, c'est 2,7 kg de CO2 d'empreinte carbone) est tiré d'une étude américaine de 2012 (https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1111/j.1530-9290.2011.00414.x), et l'on voit p. 217 que le plus gros de l'émission carbone vient de la production puis transport du papier lui-même (89 %).

On pourrait donc croire que choisir du papier recyclé aide, mais d'autres études sont plus circonspectes sur le sujet (https://www.nature.com/articles/s41893-020-00624-z), puisque le processus de recyclage demande beaucoup d'énergie et ne ferait donc pas gagner un réel bénéfice.

Note

Quand on a reçu une fibre avec un répétiteur, au début il n'y avait pas de problème. Puis, au bout d'une semaine ou deux, j'ai commencé à avoir une instabilité du wifi, qui se déconnectait toutes les 30 secondes. Comme ça ne le faisait qu'à moi, et uniquement sur le PC sous Linux, j'ai suspecté un problème de pilotes. J'ai tout essayé, jusqu'à comprendre que si je changeais les canaux du wifi, je n'avais plus de problème.

Puis est venu le moment où le répétiteur n'arrivait plus à se connecter à la box, même à moins d'un mètre. Comme les deux évènements se sont produits à un bon mois d’intervalle, j'ai pas cherché à comprendre. Jusqu'à samedi dernier où j'ai simplement remis les canaux wifi en automatique : le répétiteur s'allume, fait une mise à jour, et se connecte sans problème.

Ok. Mais du coup… Mon PC Linux se déconnectait à tout rompre. J'ai passé des heures à chercher une solution tout en écoutant du Moondog. Je m'en vais dormir en laissant un dmesg -w tourner… et le lendemain, je vois que rien n'a bougé. Pas de coupure. Étrange. Je prends mon café, allume mon casque, lance l'album de Moondog… et ça se met à grésiller un coup juste avant que la connexion wifi ne se coupe.

Ah ah ! Je te tiens, sacripan ! Mon bluetooth se trouve sur la même carte que le wifi, alors je teste en branchant un dongle : quand le casque se connecte au dongle, plus aucun problème. Le bluetooth doit empiéter sur le canal par défaut de la box. Ok, donc j'ai juste à acheter une carte wifi deux bandes, ça devrait plus poser de problèmes à l'avenir, et puis ça coûte vingt balles…

Je reçois la nouvelle carte, l'installe, allume le PC et…

1802: Unauthorized network card is plugged in – Power off and remove the card

FUCK. C'est un Thinkpad, et Lenovo a placé une whitelist. Je suis bon à patcher l'UEFI, en croisant les doigts pour pas détruire mon PC dans la manœuvre. Je commence à démonter, et mince ! je ne vois pas où se trouve la puce. Eh bien vous saurez que sur un Thinkpad T540p, la puce SPI2 à flasher se trouve à côté du port de la carte sim… une fois qu'on l'a entièrement démonté.

Ou comment perdre un après-midi à bidouiller. Pour info, la nouvelle carte est une Intel AX200NGW et la suppression de la whitelist s'est très bien passée. Le bébé se porte bien, j'écris tout ça en écoutant le dernier des Who, aucun problème de wifi 🤞 Plus qu'à écrire un petit article décrivant la procédure, histoire que ma mésaventure serve à quelqu'un…

Où VONT les JEUX DE COURSES ? - YouTube

Lorsque nos parents nous ont offert une PlayStation (première du nom), le premier jeu fut Porsche Challenge (parce que le père fan de Porsche). Une seule voiture, la Porsche Boxster. On l'a poncé jusqu'à la moelle. Mais au-delà des Gran Turismo 2 et autres V-Rally, ce qui nous est resté est la claque Driver. Imaginez : GTA n'existe que comme vu de dessus, et vous avez sur PS1 un jeu en monde ouvert sur plusieurs villes où vous incarnez un flic sous couverture qui devra bosser avec le mac du coin, en esquivant les voitures de police. Bref, un GTA avant que ce soit GTA…

J'ai par la suite arrêté les jeux de courses sur PS2 et consoles suivantes. Ça ne fait qu'un an que j'ai un peu repris sur PC avec Project Cars et Assetto Corsa, mais si je retrouve le côté Gran Turismo 2 (où, on le rappelle, il fallait passer son permis dans le jeu avant de pouvoir faire sa première course, c'est dire), il me manque cruellement l'histoire d'un Driver.

Mais je compare ça aux jeux d'avions (moins que les space sims), où l'histoire d'un Secret Weapons Over Normandy reste inégalée, même dans le meilleur Ace Combat. Imaginez : vous jouez un pilote de la RAF durant la WW2, avec des missions débutant par la Bataille d'Angleterre et se terminant par aider le physicien Niels Bohr à s'échapper ou détruire des cargaisons d'eau lourde pour éviter que les allemands n'acquièrent des armes potentiellement atomiques, tout cela servi par une bande originale signée Michael Giacchino (Star Trek, Rogue One, Medal of Honor, Call of Duty, Jurassic World…). Les jeux actuels sont certes beaux, avec une physique appropriée, mais manquent d'une âme et d'une histoire…